Elle n'a pas de nom. Sa langue tangue dans un flot maladroit. Elle nous raconte l'amour, les promesses, la trahison. Un voyage sous tension dans les blessures de l'âme humaine, dans les chaos d'une vie qui s'est perdue.
«Ce qui est certain, c'est que je ne voulais pas faire de la peine aux gens. Mais j'ai tué quelqu'un, une fois j'ai tué quelqu'un même si je ne suis pas folle».
Pour que nous puissions entendre, comprendre, ressentir sans chavirer dans le réalisme, Solenn Denis offre ce rôle de femme au comédien Erwan Daouphars.
Un texte ciselé, une interprétation délicate dans un décor minimaliste subtilement éclairé.